Le 24 juin 2019, la CGT appelle tous les salariés impliqués dans la survie de ces conditions de travail à se mobiliser.
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Aujourd’hui mercredi 22 mai 2019, se tient une première réunion de négociation (il y en aura trois) interbranche sur le financement la formation professionnelle du BTP où le CCCA pourrait ne plus exister car le financement sera versé directement à l’OPCO de la construction.
Les implications pour nous sans tête de réseau CCCA :
- Plus de réseau donc plus d’unicité de conditions de travail ;
- Fin de la convention de relation entre le CCCA et l’OG ;
- Fin de l’accord collectif portant sur les salaires, déroulement de carrière, conditions de travail ;
- Risque de rattachement à une convention collective moins protectrice ;
- Fin de la relation de convention avec le MEN qui nous donnait une autonomie pédagogique ;
- Fin des apports pédagogiques du CCCA ;
- Interrogations sur la politique de financement que mènera l’OPCO ;
- Fin de la mutuelle réseau.
Ces menaces sont réelles et sérieuses à très court terme.
Défense de Sarah
Avr 12
Sarah est formatrice EPS au CFA-BTP de Rueil-Malmaison depuis maintenant 6 années. Par ailleurs, elle prodigue aussi des stages de SST à des apprentis. Depuis quelques jours, elle est sous la pression d’une sanction pouvant aller jusqu’à son licenciement.
Sarah n’a pas à être sanctionnée pour des absences d’apprentis qu’elle a signalé dès le premier appel à 13h30, heure de la reprise des cours prévus pour ces jeunes.
Comme la CGT des CFA, soutenez Sarah à votre tour de 2 manières :
- Faites tourner l’information,
- Signez la pétition de soutien ci-dessous qui sera remise au cours de l’entretien avec l’employeur en la retournant par mail à secretaire@cgt-cfa.com
La CGT des CFA paritaires du BTP relaie l’appel à l’action de la Fédération CGT de la construction (FNSCBA). Nelly Grégor, secrétaire générale du syndicat, a déposé au près du CCCA-BTP un préavis de grève nationale couvrant les actions de l’ensemble des personnels des CFA.
Déclaration de la FNSCBA
La Fédération Nationale des Salariés de la Construction, du Bois et de l’Ameublement appelle l’ensemble des salariés de nos branches à participer, le 14 décembre, sur l’ensemble du territoire à une grande journée de grève, d’action et de mobilisation. En dépit des manipulations médiatiques observées, notre rôle d’organisation syndicale est d’agglomérer les colères et non de les diviser. La C.G.T. dans et en dehors de l’entreprise, revendique et combat pour une société plus juste et plus équitable. Evidemment, nous ne laisserons pas l’extrême droite et les petits patrons du Bâtiment et des Travaux Publics communiquer pour faire croire que c’est eux les tenants du mouvement des gilets jaunes. L’enjeu est de transformer la colère en rapport de force pour exiger de réelles avancées sociales, financer par exemple par le retour à minima de l’I.S.F. Nous demandons aux patrons de la Construction, du Bois et de l’Ameublement concernant le pouvoir d’achat d’ouvrir les négociations sur :
- l’égalité totale des salaires des Femmes et des Hommes,
- Un S.M.I.C. de 1 800€ pour 32 heures hebdomadaires,
- La suppression de l’annualisation des salaires,
- Un véritable 13ème mois sans référence annuelle.
Nous exigeons que des négociations soient engagées sur l’ensemble de notre cahier revendicatif : Emploi, Salaire et Retraite. Nous demandons à nos camarades, militants, syndiqués de contacter les unions locales pour structurer et mettre en œuvre la journée d’action et de grève du 14 décembre.
Le syndicat CGT des CFA BTP appelle à participer massivement à cette première journée de mobilisation afin de faire front au gouvernement qui pille nos acquis sociaux détruit notre système de santé et de protection sociale et accroit les inégalités.
Vous pouvez télécharger le préavis de grève que la CGT a envoyé au CCCA-BTP.
Je compte sur vous pour mobiliser l’ensemble des salariés de vos établissements afin qu’ils participent à cette grande journée d’actions.
Fraternellement
Nelly Gregor
Secrétaire générale de la CGT des CFA BTP
A l’appel de notre Fédération la FNSCBA CGT, le syndicat CGT des CFA du BTP dépose ce jour un préavis de grève national pour le 19 avril 2018, journée de mobilisation interprofessionnelle.
Cette journée appuie nos revendications professionnelles et statutaires.
Elle s’inscrit dans une démarche de révision du dialogue social avec l’application du CSE, et dans la protection de notre statut du personnel.
Nous appelons l’ensemble des salariés du réseau CCCA à se mobiliser très largement sur cette journée.
Le syndicat CGT des CFA BTP,dépose ce jour un préavis de grève nationale sur l’ensemble des CFA du réseau pour la journée du 22 mars 2018.
Nous dénonçons :
- La réforme du service public, qui va entraîner des pertes d’emplois, et va accroire la précarité ;
- La rémunération au mérite ;
- La restauration d’un jour de carence
Le syndicat National CGT des CFA s’oppose également à la suppression du statut des cheminots.
Nous appelons l’ensemble des salariés du réseau CCCA à une forte mobilisation pour cette journée d’actions du 22 mars prochain.
Le préavis suivant a été envoyé ce jour au CCCA. La CGT des CFA vous recommande d’en déposer un également auprès de vos associations.
Les militants CGT du 34 ont manifesté en soutien aux Goodyear et aux Air France. Notre camarade Nelly GREGOR tenait la banderole de l’UD 34 (au centre)
Le secrétaire de l’UD 34 a stigmatisé l’acharnement judiciaire dont ont fait l’objet 3 camarades du CFA de Montpellier et le secrétaire de l’Organisme qui le gère. voici un article de la presse locale qui reprend cette déclaration :
La loi Travail n’est pas bonne pour les salarié-e-s et les jeunes. Elle ne le sera pas non plus pour l’économie du pays. Alors que le chômage et la précarité augmentent, en affaiblissant les conventions collectives au profit des accords d’entreprise, cette loi accroît la concurrence entre les entreprises poussant à l’alignement sur le « moins offrant » pour les salariés. Cette logique de dumping social va engendrer davantage de flexibilité et de précarité et remettre en cause nombre d’acquis sociaux.
Cette loi contrevient aux conventions 87, 98 et 158 de l’Organisation Internationale du Travail relatives à la négociation collective, aux libertés syndicales et aux licenciements.
Les organisations syndicales étudient tous les recours et moyens juridiques possibles pour s’opposer à la mise en œuvre de la loi Travail.
L’emploi, les salaires et les conditions de travail restent des préoccupations majeures pour les citoyen-ne-s.
Le chômage et la précarité sont des fléaux pour notre pays. Les créations d’emplois, dans le privé comme dans le public, sont pourtant nécessaires pour répondre aux besoins de toute la société. La stabilité et la qualité des emplois sont non seulement gage de progrès social et de qualité de vie pour les salarié-e-s et les jeunes, mais sont aussi un facteur essentiel de création d’emplois. La loi Travail tourne le dos à cet enjeu ! Tous les pays qui ont fait l’expérience d’une telle réforme du droit du travail (Italie, Espagne, Portugal, Grèce, Allemagne) en mesurent aujourd’hui les conséquences néfastes.
Affaiblir le code du travail, c’est affaiblir les droits de tous les salarié-e-s !
Il est clair qu’à terme la fonction publique sera aussi concernée car nombre de règles statutaires relève de la transposition de dispositions du code du travail (dialogue social, respect de la hiérarchie des normes et des droits collectifs, temps de travail, etc.).
C’est pourquoi nos organisations continueront à mener tous les débats nécessaires avec les salarié-e-s et les jeunes pour, à l’inverse de cette loi, promouvoir d’autres propositions, obtenir son abrogation et gagner de nouveaux droits pour toutes et tous.
Pendant l’été, de nombreuses initiatives locales se sont développées et la carte postale au Président de la République a été largement utilisée. Comme nous l’avons écrit au Président de la République, «on se retrouve à la rentrée…», notamment sur les meetings et débats unitaires déjà programmés.
Les organisations dénoncent les faits de répression dont sont aujourd’hui victimes des militant-e-s syndicaux-ales, des jeunes, des salarié-e-s et des agents publics.
Les organisations syndicales de salarié-e-s et de jeunesse CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL appellent les salarié-e-s, privé-e-s d’emploi, étudiant-e-s, lycéen-ne-s, retraité-e-s à se mobiliser massivement pour réussir la journée d’actions du 15 septembre contre la loi Travail, selon des modalités décidées localement (rassemblements, manifestations, grèves, etc…), pour obtenir l’abrogation de cette loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.
La Loi EL KHOMERI remet en cause un certain nombre d’acquis sociaux, et même si notre mobilisation des derniers mois n’a pas permis de faire reculer le gouvernement, nous devons aujourd’hui appeler à l’abrogation de cette loi et à la reconquête de nouvelles protections collectives.
Le Syndicat CGT-des CFA-BTP dépose ce jour un préavis de grève pour la journée d’actions et de mobilisations du 15 septembre 2016 pour répondre à l’appel des organisations CGT, FO, FSU, Solidaires.
Nous appelons l’ensemble des personnels à se mobiliser pour l’abrogation de la loi travail, et la reconquête de nouveaux droits et garanties collectives pour l’ensemble des salariés.
Les salariés du réseau CCCA-BTP pourront donc être en grève le 15 septembre prochain, de 7h du matin à 22h le soir.
Le Syndicat CGT des CFA-BTP demande à ses élus et mandatés de ne siéger dans aucune instance ce jour là.
Préavis national adressé au CCCA